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NOUVELLES

IT TAKES TIME TO SEE (Geneviève Cadieux, Pascal Grandmaison and Mathieu Grenier)

Pascal Grandmaison

18 juin au 22 août, 2020
Toronto Contemporary Syndicate's inaugural exhibitions 

Illuminations, éclats, 2020 IMPRESSION JET D’ENCRE , 47 x 37’’

Illuminations, éclats, 2020
IMPRESSION JET D’ENCRE , 47 x 37’’

Arsenal Contemporary Art Toronto

It takes time to see

Geneviève Cadieux, Pascal Grandmaison, Mathieu Grenier

June 18- August 22, 2020

 

This exhibition was originally supposed to be presented in May 2020, during the 2020 edition of the Scotiabank Contact Festival but had to be postponed when we entered the great long pause. It features the work of three artists from three generations, each prodding the apparatuses and devices of the photographic and the filmic image: Geneviève Cadieux, Pascal Grandmaison and Mathieu Grenier.

                                                                                              

The exponential expansion of the community of images over the last few decades has brought forth an incredible wealth of new processes, new materials and new supports unimagined only a few years ago.  3D printing is already old news and we now have a new generation of images created by robots.  This formidable revolution has afforded a rich array of new avenues to be explored by artists that allow them to reconsider both the ontological and the formal aspects of what constitute a photograph.

 

The three artists featured in this exhibition each approach the notion of the mechanical image from a particular position, but all three place their lenses on the natural landscape. Geneviève Cadieux monumental prints encapsulate the intense power of the austere yet rich landscape of mythic Marfa, Texas. Pascal Grandmaison playfully inverts narrative sequences and manipulates filters to weave a poetic space that transforms blandness into ethereal climates. Under Mathieu Grenier’s hand, the youngest of the three, the chemical substances traditionally use to reveal images are diverted to mimic painted gestures.

 

The juxtaposition of these three bodies of work form a meditative and poetic environment, one much needed amidst these dramatic times. As the great painter Agnes Martin said so well in a 1974 interview with Kate Horsefield and Lynn Blumenthal, it takes time to see.

 

- René Blouin

LE TRAVAIL DE L’ART 2020

Pascal Grandmaison

1 février au 14 mars 2020

Galerie René Blouin

LE TRAVAIL DE L’ART 2020  6 PROJECTIONS VIDEOS SYNCHRONISÉES 4K, SON , 30 min

LE TRAVAIL DE L’ART 2020 6 PROJECTIONS VIDEOS SYNCHRONISÉES 4K, SON , 30 min

États d’âmes, esprit des lieux : photographies de la collection Lazare

Pascal Grandmaison

29 NOVEMBRE 2018 - 28 AVRIL 2019

Exposition jusqu'au 28 avril au Musée des beaux-arts de Montréal

VERRE 2004Épreuve numérique à développement chromogène sur plexiglas 71 x 71''

VERRE 2004

Épreuve numérique à développement chromogène sur plexiglas 71 x 71''

Réunissant près de 100 photographies d’artistes majeurs canadiens et internationaux, cette exposition souligne la passion pour la photographie du collectionneur montréalais Jack Lazare qui souhaite partager avec le public l’enchantement qui l’anime depuis vingt ans. Elle est aussi l’occasion de mettre en lumière une sélection d’oeuvres parmi un ensemble important de 33 photographies généreusement offertes au Musée en 2017 par Jack Lazare et sa conjointe Harriet. Cette généreuse donation permet d’enrichir la collection du Musée, qui recèle plus de 2 500 œuvres, en vue de l’ouverture d’un cabinet consacré à la photographie.

Bon nombre de photographes de réputation internationale font ainsi leur entrée dans la collection d’une institution muséale canadienne, comme l’Italien Paul Ventura, le Français Jean-Baptiste Huynh, le duo suisse Teresa Hubbard et Alexander Birchler, formé en 1990 à Banff, ou l’Allemande Beate Gütschow.

Pour le collectionneur, ces œuvres invitent à ressentir l’atmosphère et l’esprit de lieux réels ou imaginaires, intimes ou anonymes : des paysages manufacturés ou urbains d’Edward Burtynsky et de José Manuel Ballester, aux mises en scène de Carlos et Jason Sanchez, en passant par les intérieurs du Canadien Nicolas Baier, du Chinois Jiagang Chen et de la Danoise Trine Søndergaard. Les images captées par Nicolas DhervillersTodd HidoAstrid Kruse Jensen et Mark Ruwedel dépeignent des espaces oniriques, empreints de mystère, alors que celles de Lee FriedlanderSaul LeiterDanny LyonSarah MoonLarry TowellAlbert Watson et Laurence von der Weid abordent le thème du passage.

Une fascinante galerie de portraits signés Raymonde AprilChuck CloseWillie DohertyElliot ErwittPascal GrandmaisonAngela GrauerholzPatrick FaigenbaumIsaac JulienRichard LearoydNelli PalomäkiAlexander Rodchenko et August Sander laisse transparaître des états d’âme. Les photographies de Tina BarneyNan GoldinAdam JeppesenAino KannistoPhilip-Lorca diCorciaHannah Starkey et Thomas Struth, elles, évoquent tour à tour le sentiment de solitude et la complexité des relations humaines.

États d’âmes, esprit des lieux intègre aussi une série de 14 épreuves à l’albumine de la Britannique Julia Margaret Cameron (1815-1879), artiste dont la découverte, lors d’une exposition au MoMA en 1999, est à l’origine de la passion de Jack Lazare pour l’art photographique. L’exposition démontre de plus l’intérêt du collectionneur pour les sujets à caractère social, tant par les photographies de Shimon AttieKaty GrannanAlex Majoli et Shirin Neshat, que celles des photographes documentaires états-uniens Robert FrankDorothea Lange et Gordon Parks.

1380, RUE SHERBROOKE OUEST,
MONTRÉAL (QUÉBEC) H3G 1J5

MOMENTA | Biennale de l’image. De quoi l’image est-elle le nom?

Pascal Grandmaison

THE NEUTRALITY ESCAPE 2008Video projection 25', 11 min. PASCAL GRANDMAISON ©

THE NEUTRALITY ESCAPE 2008

Video projection 25', 11 min. PASCAL GRANDMAISON ©

Aujourd’hui, les images captent le monde à tous moments. Mais que disent-elles désormais ? Sont-elles la capture objective du monde à un instant T ? Que sont devenus ces marqueurs de réalité ?

MOMENTA 2017 examine la notion de pièce à conviction de l’image fixe et en mouvement sous ses aspects les plus variés, mettant en doute son statut comme témoin du réel et s’intéressant aux caractères fantasmé et sublimé de celui-ci. Les 38 artistes réunis dans la biennale nous invitent à ne pas accepter sans critique le témoignage de l’image.

Leur art n’a pas pour projet esthétique de représenter le monde, mais plutôt d’intercéder entre l’état des choses et leurs interprétations possibles. Ces artistes sont davantage des « lanceurs d’alerte » et ils préfèrent la transfiguration à la réplication. Ils sont attachés à produire de la différenciation par le truchement d’allégories. Leurs images parlent du monde de diverses manières, mais elles s’échappent systématiquement du réel.

Les 23 artistes présentés à VOX, centre de l’image contemporaine et à la Galerie de l’UQAM – qui forment le quartier général de l’événement – explorent et interrogent la frontière poreuse entre réalité et imaginaire à travers des enjeux complexes tels que l’identité, le territoire, l’histoire et le temps.

 

Artistes présentés à VOX

 

Mircea Cantor (Roumanie) mêle les notions d’inscription permanente et d’effacement, de manière à évoquer les multiples empreintes éphémères que nous laissons derrière nous.

Dans ses photographies, Samuel Fosso (Cameroun) livre des messages politiques en détournant l’exercice de l’autoportrait.

LaToya Ruby Frazier (États-Unis) brouille la frontière entre autoportrait et documentaire social. (Le travail de cette artiste est également exposé à la Galerie de l’UQAM.)

Pascal Grandmaison (Canada) jette sur les technologies d’autrefois un regard analytique très précis qui interroge la quête de vérité même, poursuivie par les cinéastes au moyen de leurs outils.

Terrance Houle (Canada) révèle les incongruités et les stéréotypes entourant les rapports à l’altérité dans les sociétés postcoloniales. (Le travail de cet artiste est également exposé à la Galerie de l’UQAM.)

En dotant une photographie d’époque d’une bande son, Frédéric Lavoie (Canada) procure au document d’archives une dimension fictionnelle.

Les photographies de Hanna Liden (Suède) sont autant d’indices de la sous-culture des centres-villes, évoquant à la fois des rituels païens et des psychodrames contemporains.

Moshe Ninio (Israël) superpose deux clichés d’un lieu chargé d’histoire, ce qui fait surgir un spectre inopiné au centre de l’image obtenue. Il s’agit de la première exposition de l’artiste au Canada.

J.D. ’Okhai Ojeikere (Nigeria) préserve une partie de la mémoire ethnographique et culturelle de son pays en générant un inventaire de près de mille coiffures réalisées par les femmes nigérianes.

Les oeuvres de Joshua Petherick (Australie) éloignent l’image de son cadre traditionnel pour en faire un objet-sculpture, dans lequel les effets de numérisation sont constitutifs. (Le travail de cet artiste est également exposé à la Galerie de l’UQAM.)

Kim Waldron (Canada) documente la création de sa nouvelle société off-shore basée à Hong Kong, poursuivant une recherche sur les dynamiques de pouvoir.

Liu Yue (Chine) remet en question notre perception du monde en montrant la banalité du quotidien, de sorte à en dévoiler le côté magique.

FIXE LE JOUR 2017 13 PHOTOGRAPHIES COULEURS - GALERIE RENÉ BLOUIN 2017

Pascal Grandmaison

8 juillet – 9 septembre 2017

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À LA RECHERCHE D’EXPO 67, MUSÉE D'ART CONTEMPORAIN DE MONTREAL

Pascal Grandmaison

21 06 2017 au 01 10 2017

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Pour marquer le 50e anniversaire d’Expo 67, le Musée d’art contemporain de Montréal organise À la recherche d’Expo 67, une importante exposition de nouvelles œuvres d’artistes québécois et canadiens qui s’inspirent d’Expo 67.

Le MAC est fier de proposer l’exposition À la recherche d’Expo 67, une exploration artistique et contemporaine de ce grand moment de notre histoire. Soulignant le 50e anniversaire de l’Exposition universelle de Montréal, À la recherche d’Expo 67 propose un regard complètement nouveau et inédit des grandes questions qui ont animé Expo 67. L’exposition présente 19 œuvres conçues par des artistes québécois et canadiens contemporains, dont 16 créations inédites. Architecture, art sonore, arts visuels, cinéma et musique sont notamment les axes de ce grand rendez-vous créatif. Ancrées dans une recherche artistique et archivistique en profondeur, les œuvres mettent en relief la grande liberté créatrice offerte aux artistes, architectes, cinéastes et designers qui ont participé à l’exposition d’origine, leur expérimentation des technologies de pointe et la diversité de leurs créations. L’exposition s’inscrit dans la programmation officielle du 375e anniversaire de Montréal et d’Expo 67 – 50 ans plus tard.

 

Même si les artistes québécois et canadiens sélectionnés pour la réactivation d’Expo 67 n’étaient pas encore nés lors de la tenue de cette manifestation, les visiteurs qui l’ont connue et visitée y retrouveront avec bonheur l’excitation qui les a fait vibrer à l’époque, une fièvre à laquelle ne manquera pas de s’identifier le jeune public. La même inventivité et la même volonté d’innover dans tous les secteurs de la vie caractérisent l’exposition actuelle, à laquelle s’ajoute une réflexion sur l’héritage sociopolitique et culturel d’Expo 67 et, à l’occasion, une critique de certains de ses postulats. Ainsi, l’exposition se déploie sous trois formes : nouvelles créations, recréations d’œuvres originales avec des technologies actuelles et activations de contenus d’archives.

 

Jean-Pierre Aubé
Marie-Claire Blais et Pascal Grandmaison
Simon Boudvin
Stéphane Gilot
Philip Hoffman et Eva Kolcze
Geronimo Inutiq
Leisure (Meredith Carruthers et Susannah Wesley)
Emanuelle Léonard
Duane Linklater
Caroline Martel
Jacqueline Hoàng Nguyễn
David Ritter et Kathleen Ritter
David K. Ross
Mark Ruwedel
Chris Salter
Cheryl Sim
Charles Stankievech
Krista Belle Stewart
Althea Thauberger

Documenter, raconter, mentir , Museo de la Cancilleria, Mexico City

Pascal Grandmaison

18 janvier - 10 mars 2017

 

Vernissage 18 janvier, Museo de la Cancilleria, Mexico City

 

Jusqu'au 10 mars 2017

Les artistes : Raymonde April, Jessica Auer, Nicolas Baier, Gwenaël Bélanger, Michel Campeau, Bertrand Carrière, Jacynthe Carrier, Serge Clément, Maryse Goudreau, Pascal Grandmaison, Milutin Gubash, Isabelle Hayeur, Emmanuelle Léonard, Alain Paiement, Roberto Pellegrinuzzi, Andrea Rutkauskas, Carlos et Jason Sanchez, Chuck Samuels, Guillaume Simoneau, Ève K. Tremblay.

Documenter, raconter, mentir

L’exposition Documenter, raconter, mentir est née d’une invitation d’Occurrence, centre d’art et d’essai contemporains de Montréal, à porter un regard attentif sur la scène photographique québécoise depuis l’an 2000 et à en prélever les tendances les plus représentatives. Nos pistes de réflexion nous ont amenés vers des questions liées au postdocumentaire, au paysage comme territoire à réinterpréter, à la mise en scène issue d’images de soi, à la fiction fondée sur le rapport à des images connues ou à des stéréotypes en provenance du cinéma. Les préoccupations de certains artistes pour l’histoire de la photographie et pour la plasticité des images ou le dispositif photographique ont également été retenues.

Documenter, raconter, mentir rassemble vingt photographes et fait suite à un premier volet produit par Occurrence offrant une vue sur la photographie québécoise des années 1980 à 2000. L’exposition Le Cadre, la scène, le site, dont nous étions cette fois encore les commissaires, regroupait vingt-quatre photographes et fut présentée au Mexique dans trois lieux différents entre 2000 et 2002. À la différence du panorama antérieur, cette seconde version nous a révélé que l’on ne peut plus, comme ce fut le cas à ce moment-là, aborder les œuvres en termes de catégories. Car les avenues formelles et idéologiques empruntées par les photographes ces dernières années ne sont pas des voies exclusives, mais agissent de concert au sein des œuvres. Une oeuvre ne peut plus, semble-t-il, s’inscrire sous un seul chapeau parce que se retrouvent en elle des éléments caractéristiques de plusieurs autres. C’est pourquoi nous préférons utiliser le terme «vecteur», plutôt que catégorie, pour qualifier les ensembles que nous avons formés. Néanmoins, chez bon nombre de photographes, l’approche sérielle et narrative demeure manifeste. Leurs œuvres documentent, racontent, mentent…

Sylvain Campeau
Mona Hakim
Commissaires

L’exposition sera ensuite présentée en mai 2017 dans le cadre du 20è anniversaire du Festival De Mayo à Guadalajara et au Centro Cultural Clavijero à Morelia en août 2017. Nous vous tiendrons informé des dates ultérieurement.

OCCURRENCE remercie le Conseil des arts et des lettres du Québec pour leur contribution essentielle dans ce projet ainsi que la Délégation du Québec à Mexico.

Musée des beaux-arts du Canada: Exposition inaugurale de PhotoLab : la métaphore de la fenêtre

Pascal Grandmaison

28 OCTOBRE 2016 - AVRIL 2017

Eugène Atget, Phil Bergerson , Pascal Grandmaison, Clara Gutshe, Nathan Lyons

Par Équipe MBAC le 08 novembre 2016
Le 28 octobre dernier, le lancement de l’Institut canadien de la photographie (ICP) du Musée des beaux-arts du Canada (MBAC) a marqué l’inauguration d’une incomparable ressource internationale vouée à l’étude de la photographie, depuis ses débuts jusqu’à nos jours.

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PhotoLab est l’un des espaces les plus extraordinaires des nouvelles salles de l’Institut Canadien de la Photographie (ICP), situées au 2e étage du MBAC, dans les salles autrefois réservées aux expositions temporaires de dessins, d’estampes et de photographies. Ce lieu conçu pour accueillir de petites expositions en rotation, à vocation plus expérimentale, a été inauguré cet automne avec PhotoLab 1, une fascinante présentation sur le thème de la devanture, ou vitrine, de magasin.

Réunissant des œuvres d’Eugène Atget, de Phil Bergerson, de Pascal Grandmaison, de Clara Gutsche et de Nathan Lyons, cette première exposition explore la notion de la photographie vue comme une fenêtre sur le monde. Organisée dans l’esprit de collaboration qui caractérise PhotoLab, elle est le fruit des efforts de la nouvelle directrice de l’ICP, Luce Lebart, et de plusieurs membres de l’équipe de conservation des photographies du MBAC dont la conservatrice Lori Pauli, les conservateurs associés Andrea Kunard et Jonathan Newman, la conceptrice principale Ellen Treciokas et le chef de la conservation et de la recherche technique John McElhone.

Lori Pauli explique : « Pouvant à la fois révéler et dissimuler, remettant en question les notions d’observateur et d’observé, brouillant la frontière entre espace intérieur et extérieur, les fenêtres ont servi de métaphore à l’acte même de regarder. »

Inspirée en partie de la nouvelle exposition novatrice de l’ICP consacrée à Josef Sudek (1896–1976), un photographe tchèque lui-même célèbre pour ses clichés de fenêtres, PhotoLab 1 offre en parenthèses un hommage à la première photographie connue obtenue en chambre obscure : un cliché de 1826 réalisé par l’inventeur français Joseph Nicéphore Niépce depuis la fenêtre d’une maison bourguignonne.

« Les artistes sont depuis toujours fascinés par les fenêtres, ajoute Lori Pauli. En photographie, elles constituent, à la fois comme sujet et comme symbole, un thème particulièrement populaire en raison de la transparence et du pouvoir réflecteur du verre. Les photographes utilisent ce motif depuis l’invention de ce procédé pour explorer la nature morte, le portrait, la culture populaire et même l’abstraction. »

 

Voici comment Jonathan Newman décrit l’image : « Métaphoriquement, le verre renvoie à la fenêtre et, par extension, au rôle de la photographie en tant que fenêtre sur le monde. Ici pourtant, la fenêtre ne laisse pas voir ce qui se passe à l’extérieur, mais ce qui est à l’intérieur. Le verre sert aussi à fabriquer des miroirs et l’image reflétée est également présente, révélant vaguement la présence du photographe et l’image des sujets eux-mêmes. »

 

PhotoLab 1 sera à l’affiche de l’Institut canadien de la photographie du Musée des beaux-arts du Canada du 28 octobre 2016 à l’hiver de 2017. Cet automne, les salles de l’ICP seront également occupées par deux expositions de tout premier plan : Josef Sudek. Le monde à ma fenêtre (jusqu’au 26 février 2017) et Légende. Les archives photographies du Globe and Mail jusqu’au 12 février 2017) Pour de plus amples renseignements sur l’ICP et sur ses expositions, activités et programmes, veuillez consulter le site de l’ICP.

Intersections: Contemporary Artist Films, AUDIN ART MUSEUM, CANADA

Pascal Grandmaison

29 OCTOBRE 2016 - 6 FEVRIER 2017

LA VIE ABSTRAITE II : ESPACE DU SILENCE 2016, 4 PROJECTIONS VIDEOS SYNCHRONISÉES 4K, SON , 30 min

LA VIE ABSTRAITE II : ESPACE DU SILENCE 2016, 4 PROJECTIONS VIDEOS SYNCHRONISÉES 4K, SON , 30 min

AUDIN ART MUSEUM, CANADA
Intersections: Contemporary Artist Films
October 29 – February 6, 2017

Matilda Aslizadeh, Patrick Bernatchez, Stan Douglas, Pascal Grandmaison and Marie-Claire Blais, Lisa Jackson, Fiona Tan, Althea Thauberger. 

Curated by Darrin Martens, Gail and Stephen A. Jarislowsky Chief Curator, this film exhibition is framed as a series of visual and experiential intersections – a place and/or space where two or more lines of inquiry converge or cross. By transforming the traditional white cube exhibition spaces into a series of film/video rooms the Audain Art Museum will provide its visitors with a different way in which to explore and experience experimental and contemporary films and videos by some of Canada’s most engaging visual artists and artists of international stature from around the globe – a sub-focus of the exhibition will be work from Canadian First Nations, China and Mexico that explore aspects of indigeneity, diaspora and life along the Pacific Rim. The over-arching narrative of the exhibition will explore ideas related intersecting – of time, space, place and larger global social narratives related to the environment and the migration of peoples and ideas.

All membranes are porous, KAMLOOPS ART GALLERY, CANADA

Pascal Grandmaison

24 OCTOBRE - 31 DECEMBRE

KAMLOOPS ART GALLERY, CANADA

All membranes are porous

The group exhibition “All membranes are porous” brings together artists including Margaret Dragu, Pascal Grandmaison, Luanne Martineau and Jeremy Shaw to look at the body as a malleable site in relation to a range of themes, including knowledge, intimacy, class and community

NUIT BLANCHE TORONTO FALLING SKY The Power Plant Contemporary Art Gallery

Pascal Grandmaison

1 OCTOBRE 2016

NUIT BLANCHE TORONTO
FALLING SKY
Waterfront (Bay Street to Harbourfront Centre)
Curated by Louise Déry, this exhibition features 10 projects along the waterfront.

MARIE-CLAIRE BLAIS - PASCAL GRANDMAISON

LA VIE ABSTRAITE 1 : LE TEMPS TRANSFORMÉ - LA VIE ABSTRAITE 2: ESPACE DU SILENCE

The Power Plant Contemporary Art Gallery

LA MAIN DU RÊVE NATIONAL GALLERY OF CANADA

Pascal Grandmaison

LA MAIN DU RÊVE  NATIONAL GALLERY OF CANADA  ARTS CANADIENS ET AUTOCHTONE: DE 1968 À NOS JOURS  03 MaI 2017 - 06 Mai 2018

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LA MAIN DU RÊVE

VIDEO COULEUR 45 MIN.      

Installations À grande échelle , Musée des beaux arts du Quebec

Pascal Grandmaison

24 juin 2016 au 19 février 2017

Musée des beaux arts du Quebec

Installations À grande échelle

Pour célébrer l’ouverture du pavillon Pierre Lassonde, autant que la vitalité de la scène artistique contemporaine au Québec, l’exposition inaugurale rendra hommage à l’une de ses pratiques les plus influentes et représentatives : l'installation. 

Presentation de l'installation video ONE EYE OPEN, 2011

MARIE-CLAIRE BLAIS - PASCAL GRANDMAISON LA VIE ABSTRAITE 1 : LE TEMPS TRANSFORMÉ LA VIE ABSTRAITE 2: ESPACE DU SILENCE GALERIE RENÉ BLOUIN, MONTREAL

Pascal Grandmaison

5 MARS - 23 AVRIL 2016

MARIE-CLAIRE BLAIS - PASCAL GRANDMAISON

LA VIE ABSTRAITE 1 : LE TEMPS TRANSFORMÉ 

LA VIE ABSTRAITE 2: ESPACE DU SILENCE

GALERIE RENÉ BLOUIN, MONTREAL


DOCUMENTATION / INSTALLATION:SALLE 1 et 2: LA VIE ABSTRAITE II : ESPACE DU SILENCE 2016 , 4 PROJECTIONS VIDEOS SYNCHRONISÉES 4K, SON , 6K VIDEO 30 MIN. SALLE 3: LA VIE ABSTRAITE I : LE TEMPS TRANSFORMÉ 2015, 2 PROJECTIONS VIDEOS SYNCHRONISÉES 4K, SON , 40 min.

LA VIE ABSTRAITE II : ESPACE DU SILENCE 2016, 4 PROJECTIONS VIDEOS SYNCHRONISÉES 4K, SON , 30 min

LA VIE ABSTRAITE II : ESPACE DU SILENCE 2016, 4 PROJECTIONS VIDEOS SYNCHRONISÉES 4K, SON , 30 min

LA VIE ABSTRAITE II : ESPACE DU SILENCE 2016, 4 PROJECTIONS VIDEOS SYNCHRONISÉES 4K, SON , 30 min

LA VIE ABSTRAITE II : ESPACE DU SILENCE 2016, 4 PROJECTIONS VIDEOS SYNCHRONISÉES 4K, SON , 30 min

LA VIE ABSTRAITE I : LE TEMPS TRANSFORMÉ 2015, 2 PROJECTIONS VIDEOS SYNCHRONISÉES 4K, SON , 40 min

LA VIE ABSTRAITE I : LE TEMPS TRANSFORMÉ 2015, 2 PROJECTIONS VIDEOS SYNCHRONISÉES 4K, SON , 40 min

LA VIE ABSTRAITE II : ESPACE DU SILENCE 2016, 4 PROJECTIONS VIDEOS SYNCHRONISÉES 4K, SON , 30 min

LA VIE ABSTRAITE II : ESPACE DU SILENCE 2016, 4 PROJECTIONS VIDEOS SYNCHRONISÉES 4K, SON , 30 min

LA VIE ABSTRAITE I : LE TEMPS TRANSFORMÉ 2015, 2 PROJECTIONS VIDEOS SYNCHRONISÉES 4K, SON , 40 min

LA VIE ABSTRAITE I : LE TEMPS TRANSFORMÉ 2015, 2 PROJECTIONS VIDEOS SYNCHRONISÉES 4K, SON , 40 min

PASCAL GRANDMAISON LA VIE ABSTRAITE : LE TEMPS TRANSFORMÉ DIAZ CONTEMPORARY , TORONTO

Pascal Grandmaison

15 OCTOBRE - 21 NOVEMBRE

PASCAL GRANDMAISON

LA VIE ABSTRAITE : LE TEMPS TRANSFORMÉ

DIAZ CONTEMPORARY , TORONTO
100 Niagara St, Toronto
(416) 361-2972
www.diazcontemporary.ca
OPENING 15 OCTOBER FROM 7 TO 9 PM

Diaz Contemporary is pleased to present new film work by Pascal Grandmaison, opening Thursday, October 15 from 7 to 9 pm. The main work in the exhibition – La vie abstraite – a 45-minute, two-channel video projection, contextualizes the transition from an objective vision of nature to pure abstraction, echoing the working methodologies of Kazimir Malevich, founder of the Suprematist movement, marking the ways in which his vision shifted from observation of the real to spiritual abstraction and back again to a figural interpretation. The Futurist opera, Victory Over the Sun, was a collaborative project where Malevich created the set design, including a special black square curtain -- the genesis of the black square monochrome, and the Suprematist movement. Victory Over the Sun is a rejection of the imitation of nature in favour of ''the supremacy of pure feeling,'' where the visual phenomena are in themselves meaningless. The theatre piece illustrated the idea of taking down the sun and locking it in a concrete box to create a new form of light, demonstrating technological superiority over the old world. After his brutal arrest in 1930, Malevich returned to a figurative approach to painting, imitating established styles. This transition in his work from figurative painting to abstraction and back again was provoked by the political power of the Soviet Union. Suprematism was a way to evacuate recognizable forms to pure abstraction, in part to avoid usefulness in the Communist propaganda that sanctioned socialist realism.

Video documentation:

 

 

 

The dissolution film series presents paired images across a bisected square, showing dissolution or the transformation of material from one state to another. In dissolution #1, we see a watery form in the air: moving, disappearing, reforming. Similar to the rain and cloud in La vie abstraite, air and water transform the scene to an abstract world. In dissolution #2, a pebbled landscape is interrupted by the appearance of bricks, placed by a mysterious hand, that settle and after a moment are ejected from the scene. The view is relieved of its impediment, but the bricks return again and again to block that view, suggestive of the constant struggle between obstruction and liberation.

THE PEN MOVES ACROSS THE EARTH: IT NO LONGER KNOWS WHAT WILL HAPPEN, AND THE HAND THAT HOLDS IT HAS DISAPPEARED.

Pascal Grandmaison

NOSTALGIE 1, 2013, ÉDITION DE 5, VIDÉO HAUTE DÉFINITION, SON, DURÉE : 10 MIN.

NOSTALGIE 1, 2013, ÉDITION DE 5, VIDÉO HAUTE DÉFINITION, SON, DURÉE : 10 MIN.

16 SEPTEMBRE - 29 NOVEMBRE 2015

THE PEN MOVES ACROSS THE EARTH: IT NO LONGER KNOWS WHAT WILL HAPPEN, AND THE HAND THAT HOLDS IT HAS DISAPPEARED.

ISMAÏL BAHRI, PASCAL GRANDMAISON, SARAH ANNE JOHNSON, TIM KNOWLES, JENNIFER ROSE SCIARRINO, KARA UZELMAN & ROBERT WYSOCKI

BLACKWOOD GALLERY
UNIVERSITY OF TORONTO MISSISSAUGA

Curated by Christine Shaw

LA MAISON FOLIE, MONS, BELGIQUE

Pascal Grandmaison

SOLEIL DIFFÉRÉ, 2010, HD VIDEO ,18'53

SOLEIL DIFFÉRÉ, 2010, HD VIDEO ,18'53

LA MAISON FOLIE, MONS, BELGIQUE
Commissaires : La Fabrique d'expositions (Julie Bélisle, Louise Déry et Audrey Genois)

17 au 27 septembre 2015
Vernissage : jeudi 17 septembre

NOUVEAUTÉS ET AUTRES OBSESSIONS Nouvelle exposition de la Collection du MUSÉE D'ART CONTEMPORAIN DE MONTREAL

Pascal Grandmaison

VERRE 2, 2004, Color lightjet print, 71'' x 71''

VERRE 2, 2004, Color lightjet print, 71'' x 71''

28 FÉVRIER - 18 OCTOBRE 2015
NOUVEAUTÉS ET
AUTRES OBSESSIONS
Nouvelle exposition de la Collection du MAC

MUSÉE D'ART CONTEMPORAIN DE MONTREAL

LE TEMPS À REBROUSSE-POIL (L’AB-SENS DE SENS) LA COMPAGNIE, LIEU DE CRÉATION, MARSEILLE, FRANCE

Pascal Grandmaison

1 OCTOBRE - 1 NOVEMBRE 2014

LE TEMPS À REBROUSSE-POIL (L’AB-SENS DE SENS)

LA COMPAGNIE, LIEU DE CRÉATION, MARSEILLE, FRANCE
CONSERVATEUR: PAUL-ÉMILE ODIN
VERNISSAGE 1 OCTOBRE
ARTISTES: Claire Dantzer, Faycal Baghriche,Jean-Gabriel Périot, Laurent Fiévet, Pascal Grandmaison, Zack Dougherty

LE TEMPS À REBROUSSE-POIL (L’AB-SENS DE SENS) | Marseille expos

LA MAIN DU RÊVE GALERIE EPONYME, BORDEAUX, FRANCE

Pascal Grandmaison

9 OCTOBRE - 20 DÉCEMBRE 2014

LA MAIN DU RÊVE

GALERIE EPONYME, BORDEAUX, FRANCE
VERNISSAGE 9 OCTOBRE 2015

http://www.eponymegalerie.com